Echo’Missions

 La Jeune Chambre Economique du Pays Niçois a fait son Parfum ! 
 Parfum d’Azur de chez Galimard 

Vendredi 23 mars, la Parfumerie Galimard a reçu la Jeune Chambre Economique du Pays Niçois dans son studio des Fragances à Eze, en présence de Stéphane Cherki, Maire d’Eze.

Plus d’une trentaine de membres, observateurs et partenaires était au rendez-vous pour découvrir l’univers de la Parfumerie GALIMARD et créer LE parfum de la JCE du Pays Niçois.
Lors de cette soirée, organisée dans la cadre des rencontres conviviales de la JCE  du Pays Niçois, les invités ont pu découvrir l’univers magique de la parfumerie et ont eu l’opportunité de créer un Parfum, une expérience unique que propose Le Studio des Fragrances de GALIMARD.

S’appuyant à volonté sur l’expertise du Maître-Parfumeur de GALIMARD et de son équipe, les invités ont pu découvrir les étapes de la « construction » d’un Parfum. Regroupés en trois équipes, ils ont sélectionné 3 bases parmi les 9 qui leur ont été présentées : une pour le «fond», une pour le «cœur», une pour la «tête».

Parmi les trois parfums élaborés, le Maître-Parfumeur de GALIMARD a désigné celui qui représentera au mieux la JCE du Pays Niçois. Un fond féminin, un cœur unisexe et une tête féminine, voici la composition du parfum sélectionné pour être Le Parfum de la JCE du Pays Niçois.

La Jeune Chambre Economique du Pays Niçois  possède désormais son propre Parfum qu’elle a tout simplement nommé « Parfum d’Azur ».

C’est ainsi que les invités ont emporté avec eux le souvenir d’une première expérience olfactive séduisante : un véritable premier pas dans l’émotion.

Les rencontres conviviales de la La JCE du Pays Niçois ont pour objectif d’inviter les jeunes de 18 à 40 ans à venir découvrir les valeurs et missions du mouvement international des jeunes décideurs, acteurs du projet économique et communautaire de leur cité. Ces soirées sont également l’occasion pour la JCE du Pays Niçois de présenter ses actions, de faire découvrir son territoire et les entreprises de la région.

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Géraldine FRUGIER – Vice-Président Communication

Neuf lettres…

Le respect de la liberté d’autrui, de ses opinions, de sa façon de vivre peut se résumer en un seul mot. Outre sa définition officielle, l’élasticité d’un tel mot peut osciller de la largesse d’esprit la plus vaste, confinant parfois à la naïveté, à l’étroitesse infime d’une mansuétude réduite à une peau de chagrin.

La définition de ce terme pourra nous sembler difficile à assumer dans l’énervement et si simple à accueillir dans l’euphorie.

On utilise le même terme lorsque l’on souhaite justifier l’admission d’un écart par rapport à une norme donnée. A nouveau, cette indulgence variera selon l’écart concerné. De quasi nulle face à l’ignominie, elle ne pourra que se révéler infinie lorsque les conséquences seront minimes.

En cette semaine lourde en émotions, dans le souvenir sinistre des actes ignobles perpétrés dans la région toulousaine, il convient de se souvenir de ce simple terme. Ce que nous ne pouvons naturellement accepter provient aussi de ce que d’autres méprisent au détriment de toute raison. La haine d’autrui se révèle aussi dans l’incapacité de certains à comprendre ce principe.
La tolérance.

Quelques syllabes pour condenser la justesse et l’acceptation de la différence.

D’un mot, l’épanouissement vers autrui comme son refus le plus ferme.

Pour cette semaine, au mépris de l’ignorance, tentons de reculer l’intransigeance.

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Aline DOSDAT
Vice-Président Développement 

Echo’Missions

 Habitation : Ecologie rime avec Economies 

Mercredi 21 mars 2012, la Jeune Chambre Economique organisait une conférence débat sur le thème : “Habitation : Ecologie rime avec Economies” à l’Hippodrome de la Côte d’azur à Cagnes sur Mer.

Une cinquantaine de personnes de tous horizons,  architectes, ingénieurs en bâtiment, entrepreneurs du bâtiment, fabricants d’équipements à économies d’énergie, professionnels de l’immobilier, diagnostiqueurs immobiliers, propriétaires et membres de la Jeune Chambre Economique, ont assisté à cette conférence.

Au cours de cette belle soirée, des problématiques actuelles ont été abordées :

– la nouvelle réglementation thermique française 2012 et sa place en Europe ;
– une illustration du fonctionnement d’un équipement à économie d’énergie : la pompe à chaleur ;
– une étude de cas concret de rénovation d’une habitation (investissement et retour sur investissement) ;
– l’audit énergétique des copropriétés immobilières.

Dans le cadre de sa commission « Autour des Experts », la Jeune Chambre Economique du Pays Niçois via cette conférence a réussi à  expliquer au grand public le contenu de la règlementation thermique 2012, de façon simple et précise.

Certains invités ont réellement apprécié cette intervention et ont félicité l’initiative de la JCE du Pays Niçois : ”Ce soir ce fut (dans la région) une grande première : l’explication au grand public du contenu de la norme RT2012, sans rebuter les gens par trop de technicité, en privilégiant des informations pratiques sur les économies d’énergie, leur financement, leur « return on invest ». Pédagogie adaptée, avec points de repère très structurés pour comprendre ce qui existe, ce qu’on peut faire, quels en sont les avantages, et à quel coût”.

Cette conférence – débat a été animée par trois intervenants de qualité :

– Luc Clausse : Consultant Prescripteur DAIKIN, notre partenaire.
– Michel Marino : Président de l’AICVF Côte d’Azur Corse.

– Maxim Toesca : Ingénieur thermicien et Gérant d’un bureau d’études techniques du bâtiment.

Habitation : Ecologie rime avec économies

La Jeune Chambre Economique du Pays Niçois

présente sa conférence-débat

”HABITATION : ECOLOGIE RIME AVEC ECONOMIES” 

Mercredi 21 mars 2012  à 19h00 à l’Hippodrome de la Côte d’Azur à Cagnes sur Mer


Dans le cadre de sa commission « Autour des Experts» la Jeune Chambre Economiquedu Pays Niçois organise une conférence-débat le mercredi 21 mars 2012 à 19h00, à Hippodrome de la Côte d’Azur à Cagnes sur Mer, salon Massena et qui aura pour thème : ”Habitation : écologie rime avec économie”

Au cours de cette belle soirée, des problématiques actuelles seront abordées:

  • la nouvelle règlementation thermique française 2012 et sa place en Europe ;

  • une étude de cas concret de rénovation d’une habitation (investissement et retour sur investissement) ;

  • une illustration du fonctionnement d’un équipement à économie d’énergie : la pompe à chaleur ;

  • l’audit énergétique des copropriétés immobilières.
Cette conférence – débat sera animée par trois intervenants de qualité :

  • Luc Clausse : Consultant Prescripteur DAIKIN notre partenaire.

  • Maxim Toesca : Ingénieur thermicien et Gérant d’un bureau d’études techniques du bâtiment.

  • Lalita Up : Architecte du bâtiment.
Les rencontres « Autour des Experts » ont pour objectifs de dynamiser l’économie locale, promouvoir des échanges entre acteurs économiques et concrétiser des collaborations.

Les objectifs de cette commission sont nombreux :

  • promouvoir la transparence et la concurrence dans un secteur d’activité donné qui est le moteur du progrès et de l’innovation dans une société fondée sur la libre entreprise

  • participer au tissage du maillage économique local en offrant au public concerné la possibilité de rencontrer d’autres acteurs économiques. 

En partenariat avec : 

La JCE du Pays Niçois fait son parfum

La Jeune Chambre Economique du Pays Niçois

se met au Parfum !

 

 

Dans le cadre de ses rencontres conviviales, la Jeune ChambreÉconomique du Pays Niçois propose une découverte de l’univers du parfum, le vendredi 23 mars 2012 à partir de 18h30 à la Parfumerie GALIMARDà Eze.

Les rencontres conviviales de la La JCE du Pays Niçois ont pour objectif d’inviter les jeunes de 18 à 40 ans à venir découvrir les valeurs et missions du mouvement international des jeunes décideurs, acteurs du projet économique et communautaire de leur cité. Ces soirées sont également l’occasion pour la JCE du Pays Niçois de présenter ses actions, de faire découvrir son territoire et les entreprises de la région.

Lors de la soirée du vendredi 23 mars, la JCE du Pays Niçoisaura le plaisir de faire découvrir l’univers de la Parfumerie GALIMARDet son nouveau Studio des Fragrances à EZE.  Les invités auront l’opportunité de créer leur Parfum, une expérience unique que proposent «Les Studios des Fragrances» de GALIMARD.

Un premier pas initiatique vers la création de Parfum

Le Bar à Parfum

  

Le défi est de se laisser gentiment mener par le bout de son nez pour faire parler son cœur, son plaisir et son imagination…

S’appuyant à volonté sur l’expertise du Maître-Parfumeur de GALIMARD et de son équipe, les invités vont découvrir les étapes de la « construction » d’un Parfum, puis sélectionner 3 bases parmi les 9 qui leur seront présentées : une pour le «fond», une pour le «cœur», une pour la «tête». 

Le résultat de leur élaboration sera un Parfum riche et complexe, masculin ou féminin, variante personnalisée d’une création initiale du Parfumeur.

C’est ainsi que les invités emporteront avec eux le souvenir d’une première expérience olfactive séduisante : un véritable premier pas dans l’émotion.


Retrouvez nous le : 

 

Vendredi 23 mars 2012 à 18h30

Parfumerie GALIMARD

Place Général de Gaulle

06360 EZE – VILLAGE

La visite sera suivie d’une cérémonie conviviale de remise de diplôme suivie d’un cocktail.

Remise à chaque invité d’un flacon 15 ml de l’Eau de Parfum réalisée par son équipe.

Tarif JCEPN: 20 €uros/personne

Cette famille qui sans cesse se régénère

C’était un soir de grâce comme il y en a si peu, l’un de ces moments indicibles où la perfection transcende la réalité, où l’utopie devient possible. Le temps semblait comme suspendu aux lèvres des orateurs. 
De quoi parlé-je donc ? Si vous vous posez la question, c’est que vous n’y étiez pas, sinon, indéniablement,  vous sauriez.

« The place to be » cette semaine, c’était à la villa Eilenroc et plus précisément le lundi 5 mars (la veille ou le lendemain, ça ne servait à rien). Plus de 150 privilégiés, pour ne pas dire bénis des dieux, étaient rassemblés autour de Jean LEONETTI, Député Maire d’Antibes Juan les Pins et Ministre des Affaires Européennes et du Sénateur Pierre LAFITTE pour la passation de pouvoir de la Jeune Chambre Economique d’Antibes Sophia Antipolis, entre Inès GANMAVO, Présidente sortante, et Bruno GUICHARD, Président 2012.
La prestation de serment d’un président, c’est le passage de la flamme, du feu sacré, du secret du Saint Graal. La splendeur de l’instant nous laisse sans voix, plonge nos esprits dans un idéal onirique. Etre Président et mourir, être pénétré, enfin, de ces fonctions suprêmes et ne plus rien avoir à attendre de la vie. Le sang en deviendrait-il bleu logo JCI ?

La passation c’est le début de cette vie en Loft Story où chaque pas, chaque geste est observé et commenté. C’est mettre le pied dans le monde des puissants et des responsables. L’engagement d’avoir un discours lénifiant toujours sous le coude, un sourire Colgate toujours en bouche afin d’éblouir la jeune journaliste de passage. Plus le droit à la flemme, à la médiocrité encore tolérée chez le membre, terminé le pyjama pilou du dimanche pluvieux, adieu les soirées Master Chef, interdits les dérapages à la Loana : bosser et briller, tel est ton destin… Quelle vie de rêve !

Mais alors on en revient toujours à ce secret, quelle est donc cette puissance qui nourrit l’ambition des jeunes Présidents en devenir ? Quel cheminement cognitif conduit de l’observation au serment suprême ? L’âme d’ Henry Giessenbiersemble toujours aussi vivace, hantant les jaycees au travers des générations et faisant des émules au-delà des frontières.

Revenons-en au véritable sujet, celui de la transmission. Revenons à la genèse de ce que Jean Leonetti rappelait lors de son discours, « ce qui différencie l’Homme de l’animal c’est la transmission de l’apprentissage ». C’est donc là que toute la magie opère. La formidable roue de la transmission, notre belle famille produit chaque année des régiments de patriarches qui abreuvent le mouvement de leurs directives et de leur sagesse. Les dynasties JCI mettent au monde des armées de généraux emplis d’une énergie sans limite pour diriger nos fructueuses actions.

Et si notre mouvement est aussi prolifique, c’est sans aucun doute parce que l’enthousiasme et la passion sont deux virus beaucoup plus contagieux que la grippe, n’en déplaise à ceux d’entre vous qui ont succombé devant elle les semaines passées. Continuons donc sans vergogne à répandre cette épidémie non délétère, hâtons-nous avant la fin de l’hiver ! Semons les graines de nouvelles pousses JCI, et attendons activement le printemps, que ces jeunes bourgeons verdissent et grandissent sous le soleil radieux de cette Côte d’Azur qui nous est si chère.

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Mickaël HAGEMAN                          et       Maïe PECHIN
Vice-Président Communication                    Secrétaire Général
de la JCE d’Antibes Sophia Antipolis

Le symbolisme du mimosa

Le début du mois de mars, mois qui rime avec le début du printemps, enfin on l’espère, le carnaval (à savoir le bonheur d’être dans l’incapacité de se déplacer dans Nice sans sentir des confettis se glisser dans notre pull) et… Le passage quasi concomitant par la fête des Grands-mères et la Journée internationale des droits de la Femme.

Deux journées aux antipodes l’une de l’autre avec tout ce que cela comporte de symbolisme, puisque la première reste une fête inventée par une marque de café qui ne connaît, elle, pas George Clooney, et de l’autre, une journée visant à nous rappeler le combat des femmes au début du XXème siècle pour tenter d’obtenir l’égalité des droits, de meilleures conditions de travail et le droit de vote.

Faut-il une journée pour nous rappeler nos aïeules et leur montrer notre affection ? A mon humble sens, non et si l’une ou l’autre de mes grands-mères était vivante, je ne suis donc pas certaine que j’aurais fait un quelconque effort pour cette fête incongrue.

Mais j’y aurais pensé, tout de même, car on a toujours une grand-mère de derrière les fagots qui a su montrer son courage à plus ou moins grande échelle et que les miennes n’y ont pas manqué. J’aurais eu une pensée, oui, pour celle qui a accouché dans un Paris au plus fort de la libération et une autre pour celle qui, au milieu des années 50, s’est retrouvée veuve et a élevée ses 4 filles alors que, médecin, elle travaillait déjà beaucoup.

Quant à l’hommage du 8 mars aux droits de la femme, non pas que le courage, la ténacité et la lutte pour l’amélioration de la condition féminine ne doivent pas être salués, mais au même titre que la journée de la gentillesse, il m’est difficile d’en cerner l’efficacité.

En revanche, il ne s’agit pas non plus de tomber dans les stéréotypes inverses et s’il faut une journée pour rappeler l’évidence, soit.

Qui songe à critiquer le 1er mai ?

Pour ne citer qu’elles, le combat de Rosa Louise Parks a débuté lorsqu’elle a refusé de céder sa place dans un bus. La lutte des droits universels s’est alors entremêlée au symbolisme d’une telle affirmation – une place dans un bus – et aux risques inouïs qu’elle a pris à cette seule minute là.

Elle a dit plus tard « Jusqu’à présent, je crois que nous sommes sur la planète Terre pour vivre, nous épanouir et faire notre possible pour rendre ce monde meilleur afin que tout le monde puisse jouir de la liberté. »

Sans toujours aller jusqu’à tout sacrifier pour une idéologie, reste que le courage dont a dû faire preuve Edith Bouvier lors de son séjour en Syrie n’était probablement pas mû par la volonté de démontrer quoi que ce soit mais bien de mener à bien son travail. A-t-elle jamais pensé aux conséquences ? Sa force ne réside-t-elle pas dans l’oubli des intérêts particuliers pour préserver le droit à l’information. ?

A des années l’une de l’autre, à des kilomètres et pour des raisons drastiquement différentes, ce que ces deux femmes en commun, c’est le caractère universel de leur démarche.

Et si la maternité, comme la grand-maternité, c’était, au-delà d’un instinct ou de recettes de cuisine, la transmission de ces valeurs-là ?

La force de notre association réside, elle, dans la concrétisation d’actions et dans la transmission d’un savoir, qualités retrouvées dans toutes ces femmes qui ont tenté et réussi à changer les choses ou tout du moins ont contribué à les faire bouger.

Sans aller jusqu’à affirmer que tous, nous leur ressemblons, peut-être faudrait-il, en ces jours d’hommage, au moins y songer.

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Aline DOSDAT
Vice-Président Développement

La couleur pourpre d’un vendredi soir

Les membres avertis, les stagiaires motivés et observateurs tous frais de la Jeune Chambre du Pays Niçois se sont hissés sur les hauteurs niçoises, à la fraicheur de la nuit de vendredi, afin de recevoir une belle leçon viticole de Monsieur et Madame PACIOSELLI, propriétaires du domaine de Saint Jean, vignoble AOC des vins de Bellet.

Alors oui, ce fut une excellente soirée : la visite plus qu’intéressante et le vin ne manquait pas du goût subtile et léger d’un raisin mûri sous le soleil de la Côte d’Azur. L’ambiance de l’apéritif qui a suivi, ce qui ne gâchait rien, était au beau fixe et chacun a pu harmoniser sa bonne humeur à celle de son voisin.

L’organisation de ce premier rendez-vous convivialité de cette année était donc plus que réussie et je ne peux que remercier, en premier lieu nos hôtes de leur accueil chaleureux comme de leurs explications instructives et en second lieu, Julien TABORE, notre Vice-Président Convivialité-Incentive, de nous avoir concocté une si belle soirée.

Je ne peux m’en contenter car dans cette hypothèse, j’omettrais toute une partie de la soirée qui s’est concentrée, à mes yeux, dans quelques mots simples de Monsieur PACIOSELLI. Celui-ci nous a décrit la fougue dont  lui et son épouse ont fait preuve pour créer leur entreprise viticole dans une région à laquelle ils n’appartenaient pas tout à fait et dans une branche d’activité qui leur était, à l’origine, inconnue.

En faut-il de l’espoir fou pour s’entêter face au scepticisme justifié des locaux et tout quitter pour s’adonner à la culture d’une vigne à créer toute entière ? De quelle patience doit-on faire preuve pour passer trois ans à suivre les formations adéquates à l’acquisition d’un savoir-faire technique qui permettra de franchir les barrières des refus administratifs ? Sans oublier la persévérance, une fois ce travail accompli et la confiance acquise, pour soigner, traiter, surveiller, récolter et finalement créer.

Chacun des mots de Monsieur PACIOSELLI fait partie, et sans probablement qu’il s’en soit rendu compte, de chacune des valeurs que notre association souhaite regrouper et promouvoir.

Au delà de l’ambiance joyeuse de se retrouver, des discours animés, de l’ivresse débutante de cette dégustation, ce que nous avons bu c’est le résultat de tout cela.

Ce que nous avons bu, c’est le nectar de leur passion.


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Aline DOSDAT
Vice-Président Développement